vendredi 6 mars 2020

Tout ce qu’il faut savoir avant d’entamer une FIV


 Quand une femme veut réaliser une fécondation in vitro Tunisie (FIV), elle ne mesure pas toujours l’investissement que cette démarche implique, ni ses répercussions sur la vie quotidienne. Selon les statistiques, 70 % des femmes avant 35 ans, en dehors de problème important, sont enceintes après quatre tentatives de FIV. Elles ne sont plus que 30 à 40 % après 40 ans. Reste que beaucoup de femmes, qui sont passées par ce traitement contre la stérilité, ne se doutaient pas de ce qu’elles auraient à affronter avant de réaliser cette fameuse FIV.

FIV : Un long parcours

Entre les mauvais résultats aux examens, les insémination artificielle tunisie, la peur de ne jamais avoir d’enfant et le sentiment que personne ne comprend, le moral tombe au plus bas. La loi impose aux centres d’Assistance médicale à la procréation (AMP) d’inclure un psychologue qui certes n’y travaillent pas à plein temps et ne consultent que quelques heures. Pourtant le mieux est de constituer une équipe de soutien regroupant un psy, un généraliste avec qui on peut discuter, un gynécologue avec qui on s’entend, un prof de yoga pour faire la paix avec son corps...

FIV : Ses effets sur la santé

Les effets secondaires d’une FIV sont différents selon le protocole et les réactions de la patiente. Les complications graves, comme les risques de thrombose et de phlébite, sont très rares, de 1 à 2 % des cas. Par contre les effets secondaires les plus courants sont : les jambes lourdes, le ventre gonflé, la prise de poids d’un ou deux kilos. De 6 à 10 % des femmes se plaignent également de crise de larmes inattendues.

FIV : Le temps accordé

Une FIV, c’est la course entre les rendez-vous, les traitements, le travail, le quotidien sans compter que certains médecins ne donnent pas de rendez-vous avant des mois, d’autres suppriment des examens qui se révèlent cruciaux après des échecs et il faut revenir à la case précédente...

FIV : Peu d’explications obtenues par la patiente

Généralement les médecins se contentaient du minimum et ne prennent pas le temps de pour parler et donner plus de détails. Ceci est compréhensible car les médecins sont noyés sous les demandes.

FIV : Le taux de réussite est faible

Si les médecins n’annoncent-ils pas les taux d’échec de la FIV, c’est  Parce qu’il existe de grandes différences d’un centre à l’autre, en fonction des techniques et de la patientèle, et parce que certains ne veulent pas d’emblée démoraliser les couples.

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