Quand une femme veut réaliser une
fécondation in vitro Tunisie (FIV), elle ne mesure pas toujours l’investissement que
cette démarche implique, ni ses répercussions sur la vie quotidienne. Selon les
statistiques, 70 % des femmes avant 35 ans, en dehors de problème important,
sont enceintes après quatre tentatives de FIV. Elles ne sont plus que 30 à 40 %
après 40 ans. Reste que beaucoup de femmes, qui sont passées par
ce traitement contre la stérilité, ne se doutaient pas de ce qu’elles
auraient à affronter avant de réaliser cette fameuse FIV.
FIV : Un long parcours
Entre les mauvais résultats aux
examens, les insémination artificielle tunisie, la peur de ne jamais avoir d’enfant et
le sentiment que personne ne comprend, le moral tombe au plus bas. La loi
impose aux centres d’Assistance médicale à la procréation (AMP) d’inclure
un psychologue qui certes n’y travaillent pas à plein temps et ne consultent
que quelques heures. Pourtant le mieux est de constituer une équipe de
soutien regroupant un psy, un généraliste avec qui on peut discuter, un
gynécologue avec qui on s’entend, un prof de yoga pour faire la paix avec son
corps...
FIV : Ses effets sur la santé
Les effets secondaires d’une FIV sont différents selon le
protocole et les réactions de la patiente. Les complications graves, comme les
risques de thrombose et de phlébite, sont très rares, de 1 à 2 % des
cas. Par contre les effets secondaires les plus courants sont :
les jambes lourdes, le ventre gonflé, la prise de poids d’un ou deux
kilos. De 6 à 10 % des femmes se plaignent également de crise de
larmes inattendues.
FIV : Le temps accordé
Une FIV, c’est la course entre les rendez-vous, les traitements,
le travail, le quotidien sans compter que certains médecins ne donnent pas de
rendez-vous avant des mois, d’autres suppriment des examens qui se révèlent
cruciaux après des échecs et il faut revenir à la case précédente...
FIV : Peu d’explications obtenues par la patiente
Généralement les médecins se contentaient du minimum et ne prennent
pas le temps de pour parler et donner plus de détails. Ceci est compréhensible
car les médecins sont noyés sous les demandes.
FIV : Le taux de réussite est faible
Si les médecins n’annoncent-ils
pas les taux d’échec de la FIV, c’est Parce qu’il existe de grandes
différences d’un centre à l’autre, en fonction des techniques et de la
patientèle, et parce que certains ne veulent pas d’emblée démoraliser les
couples.
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